Kristina Michaud dénonce l’immobilisme du fédéral face à la crise que vivent les médias écrits québécois.

« Sans le travail des journalistes, il n’y aurait pas d’articles à partager sur les réseaux sociaux. Le contenu vient de nos médias, pas de Facebook ou Google. Si on ne protège pas les créateurs de contenu, nous perdrons un pilier de la vie publique et démocratique », a reconnu Kristina Michaud.